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Étiquette : kinésithérapie

Soins de santé à Uccle

Si vous recherchez des soins de kinésithérapie à Medeortho, vous trouverez une variété de spécialités disponibles. Les professionnels de la kinésithérapie proposent des services de rééducation fonctionnelle pour aider à réduire la douleur, améliorer la fonction physique et favoriser la guérison. Si vous avez besoin de soins d’ostéopathie à Medeortho, vous pouvez également trouver des praticiens compétents. Les services de physiothérapie, de thérapie manuelle et de traitement sportif sont également disponibles à Medeortho. Que vous ayez besoin de soins de kiné respiratoire ou d’un traitement de rééducation pour une blessure, il existe de nombreux professionnels qualifiés pour répondre à vos besoins. Quels que soient vos besoins en matière de kinésithérapie à Medeortho, il est important de trouver un praticien expérimenté pour vous aider à atteindre vos objectifs de santé.

le crochetage

Le crochetage en kinésithérapie est une technique utilisée pour détendre et décontracter les muscles tendus ou douloureux. Il consiste à utiliser les doigts ( ou le crochet ) pour agripper fermement le muscle et à le tirer doucement pour déclencher un relâchement musculaire. Le crochetage peut être effectué sur différentes parties du corps, telles que le dos, les épaules, les jambes et les bras, pour aider à soulager la douleur et à améliorer la circulation sanguine. C’est une technique couramment utilisée en conjonction avec d’autres techniques de kinésithérapie pour aider à traiter une variété de conditions musculo-squelettiques.

Nos thérapeutes utilisent cette technique.

Drainage lymphatique méthode Leduc

La méthode Leduc de drainage lymphatique est une technique manuelle de massage visant à stimuler le système lymphatique pour améliorer la circulation lymphatique et éliminer les déchets et les toxines du corps. Elle utilise des mouvements doux et des pressions légères sur les ganglions lymphatiques, les vaisseaux lymphatiques et les tissus adjacents pour encourager la circulation de la lymphe. Cette méthode est souvent utilisée pour traiter la rétention d’eau, les douleurs musculaires et les douleurs chroniques.

Mon enfant fait encore pipi au lit, la kinésithérapie peut elle aider ?

Il est courant que le pédiatre prescrive de la kinésithérapie dans le cadre de l’énurésie.

La prise en charge commence après 5 ans, avant pas d’inquiétude rien d’anormal !

Ne pas oublier qu’un enfant ne fait pas exprès de faire pipi au lit, il est tout aussi victime.

Le kinésithérapeute va accompagner l’enfant/la famille, dans les changements d’habitudes de vie qui seront nécessaires chez l’enfant.

Via un calendrier mictionnel, il va examiner la qualité et la quantité de liquide ingéré ainsi que les horaires d’ingestion, mais aussi quand et en quelle quantité l’enfant urine. Cela lui permettra de donner des conseils spécifique ainsi que de réexpliquer la bonne façon de faire pipi.

Des petites missions seront données à l’enfant, à mettre en place dans son quotidien.

Faire appel au kiné ramène la problématique entre le thérapeute et l’enfant et permet de redonner à la famille le rôle de soutien, d’équipier.

Quand est-ce que je dois faire appel au Kiné après une entorse de genou ?

Que ce soit au foot, au ski ou simplement en trébuchant, l’entorse au genou est une blessure très fréquente. Mais à qui dois-je faire appel ?

Afin d’être pris en charge au plus vite, nous vous recommandons dans un premier temps d’appeler votre médecin traitant afin que conjointement avec un kinésithérapeute, nous évaluons votre genou. À ce stade, nous pourrons déjà décider si une imagerie ainsi qu’un avis d’un chirurgien orthopédique serait nécessaire ou pas.

Une prise en charge rapide est importante car dans l’attente d’un rendez-vous chez l’orthopédiste, la fonction de votre membre va se détériorer à cause de l’immobilisation prolongée sans mentionner ses effets néfastes tant sur votre santé physique générale que mentale.

Et si le ligament croisé antérieur était lésé ? Est-ce que je ne risquerais pas d’aggraver mon ménisque avec la kiné ?

Il y a à ce jour peu de preuves scientifiques qui montrent une supériorité d’un traitement chirurgical par rapport à un traitement dit conservateur (sans opération). Par ailleurs, il n’y aurait pas de différence dans le taux de recours à la chirurgie pour le ménisque dans les deux cas (Frobell, Richard B., et al., 2013)

La recherche supporte de plus en plus un traitement non-chirurgical chez certains patients (Diermeier et al.,2021). Le choix du type de traitement dépendra de plusieurs facteurs et devra être discuté conjointement avec votre équipe composée de médecin, kiné ou encore votre coach sportif, psychologue ou même votre entourage (amis, famille…).

Il est actuellement recommandé de débuter immédiatement la rééducation, même si une chirurgie est programmée. En effet, il est démontré qu’on obtient un meilleur résultat post-opératoire lorsque l’on effectue des séances de rééducation avant l’opération, même ne fut-ce que durant 3 semaines (Alshewaier S et al., 2016 ; Amaravati & Sekaran, 2013 ; Mansson et al., 2013 ; Krutsch et al., 2015 ; Eitzen et al., 2009).

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à demander conseil auprès votre thérapeute.

Comment se déroule une séance de kiné ?

Vous avez pris votre premier rendez-vous avec un kinésithérapeute. Mais à quoi devez-vous vous attendre chez MedeOrtho ?

Que dois-je préparer ?

Quels vêtements porter ?

Combien de temps dure une séance de kiné ?

Quel est le tarif d’une séance ?

Nous allons répondre ici à ces questions.

Votre première séance

Il est important de savoir que votre première visite consistera essentiellement en une évaluation. Vous discuterez de la raison de votre visite, de vos antécédents médicaux ou encore de votre pratique d’activité physique ou loisirs. Les thérapeutes chez MedeOrtho portent attention à votre problème afin de vous apporter leur expertise.

Après avoir pris connaissance de votre profil unique, votre thérapeute vous proposera un plan de prise en charge individualisé pour vous aider à atteindre vos objectifs.

Que dois-je apporter ?

À ce jour en Belgique, il est obligatoire de fournir une prescription médicale afin de suivre des séances de kinésithérapie et de bénéficier d’un remboursement de votre mutuelle ou assurance. Veuillez également noter qu’une prescription doit être entamée endéans les 2 mois de sa date d’issue.

Présenter votre carte d’identité sera toujours utile pour ouvrir un dossier à votre nom. Si vous avez des rapports ou résultats d’examens médicaux, vous pouvez également les apporter.

Quant aux vêtements, une tenue où vous pouvez facilement montrer la zone en question ainsi que les régions adjacentes sera préférée, surtout lors de la 1e séance. Des vêtements trop épais, raides qui limitent les mouvements vont compliquer la séance. Une tenue sportive tel que t-shirt, débardeur, shorts etc. sera la bienvenue. Préparez-vous à bouger !

Combien de temps dure une séance ?

Une séance dure généralement entre 30min et 40min selon votre traitement. Il faut cependant noter qu’un travail régulier est important afin d’atteindre vos objectifs ; la fréquence des visites sera discutée avec votre thérapeute.

Combien coûte une séance ?

A MedeOrtho tous nos thérapeutes sont déconventionné.e.s ; une séance de kinésithérapie est au tarif de 35€.

Comme moyen de paiement, nous acceptons le paiement mobile (Payconiq/bancontact) ou en espèces. Attention, nous n’avons pas de terminal de cartes.

Pour toute autre questions pour informations, n’hésitez pas à appeler votre thérapeute.

Kinésitérapie ou ostéopathie, quelle différence?

Ces deux professions sont des pratiques très complémentaires avec leur spécificités propres. Ce sont des techniques manuelles qui vont être réalisées suite à une anamnèse et un diagnostic effectué au préalable, afin d’orienter correctement le traitement.

 

Malgré leur point commun qui est l’approche manuelle, ces deux pratiques sont donc bien différentes. Elles n’ont ni les mêmes buts ni les mêmes pratiques, mais n’en restent pas moins complémentaires. Voyons cela de plus près…

 

  1. Le kinésithérapeute travaille sur prescription avec l’aval du médecin, contrairement à l’ostéopathe, avec un remboursement de la mutuelle plus important pour la kinésithérapie.

 

  1. La kinésithérapie se réalise en plusieurs séances (généralement par 9 ou 18 séances pouvant aller jusqu’à 60 séances), à espace régulier. L’ostéopathie quant à elle, se réalise de façon ponctuelle et isolée dans le temps, avec un espace de séances plus important.

 

  1. Le kinésithérapeute aura tendance à se concentrer principalement sur la zone lésée du corps, tant dis que l’ostéopathe traite le corps dans son ensemble. En effet, le kiné traitera la zone problématique avant de la réintégrer dans le schéma corporel plus complet, par exemple en renforçant les muscles de la zone sensible ou en corrigeant les gestes, afin de prévenir une nouvelle blessure. L’ostéopathie envisage le corps dans sa globalité et agit sur l’ensemble de sa mobilité par des techniques manuelles douces ou des manipulations (ce qu’on appelle ‘craquer’). En redonnant de la mobilité au corps, l’ostéopathe va soulager les symptômes.

 

  1. En kiné on utilise des techniques manuelles, avec ou sans appareillage. En ostéo, il s’agit exclusivement de mobilisation ou de manipulations manuelles.

 

 

En conclusion, la kinésithérapie peut se spécialiser dans différents domaines: kiné respiratoire, kiné périnatale (prévention en prénatal et rééducation en post-natal), kiné du sport, kiné neurologique… Mais la kiné peut intervenir pour toutes sortes de problèmes. Entre autres :

  • la rééducation post-traumatique (entorse, fracture, tendinite…) ou post-chirurgicale ;
  • les troubles musculo-squelettiques ;
  • les pathologies du système nerveux, par ex. récupération après un accident vasculaire ;
  • la rééducation des personnes atteintes de paralysie et/ou de troubles neurologiques ;
  • les affections cardiorespiratoires, pensons à la kiné respiratoire chez le bébé ;
  • les affections circulatoires et les rhumatismes ;
  • la rééducation du périnée ;
  • etc…

 

L’ostéopathie quant à elle va travailler sur l’harmonie corporelle et plutôt s’intéresser au système dans sa globalité. Il agit principalement dans ces 3 sphères :

  • le systèmes mécanique (système orthopédique, traumatisme) ;
  • le système neurologique (névralgies) ;
  • et le système vasculaire (troubles cardio-vasculaires).

Douleurs cervicales

Avec le télétravail, nous passons plus de temps devant l’ordinateur. Or ce travail sédentaire peut être à l’origine de douleurs et raideurs cervicales. Voici quelques conseils pour y lutter.

1.    Penser à sa posture

Le premier objectif sera de trouver un siège confortable et réglable en hauteur. Pour se faire, voici quelques « règles » :

  • les avant-bras et les bras doivent former un angle de 90 degrés, pour ne pas soulever les épaules et éviter les tensions dans les membres supérieurs et les cervicales.
  • l’écran de l’ordinateur doit se situer à hauteur du champ de vision, afin d’éviter une flexion ou une extension cervicale.

Le second objectif sera de se redresser sur son siège afin de garder la colonne vertébrale verticale. En effet, une position avachie entraine une augmentation de la cyphose thoracique et une augmentation de la pression abdominale. Le diaphragme ne pouvant pas fonctionner correctement, les muscles inspirateurs cervicaux (SCOM, scalènes) prennent le relais. Une activité répétée de ces muscles peut créer des tensions au niveau de la nuque et du cou. Ce phénomène pourra être à l’origine de compressions nerveuses.

2.    Prévenir l’apparition des douleurs

Il n’est pas sans dire que maintenir une position entrainera des raideurs. Pensez donc à faire des pauses (environ une fois par heure), comme vous le feriez dans votre activité professionnelle normale. Pendant ces pauses, pensez à bouger afin d’activer vos muscles et éviter les enraidissements.

Pensez également à vous hydrater. Cela permettra d’acheminer énergie et oxygène aux muscles et ainsi prévenir crampes ou raideurs musculaires.

La pratique d’une activité physique régulière est indispensable. Encore plus en période de confinement ! Tous les muscles ne sont pas sollicités et des déséquilibres peuvent apparaître. Il peut s’agir d’exercices de yoga, pilates, musculation ou même course à pied à condition de respecter les règles de distance sociale. Attention cependant à ne pas augmenter la durée, l’intensité ou la fréquence de vos entrainements trop rapidement pour éviter les blessures.

3.    Quelques exercices pour les douleurs cervicales

Ces exercices peuvent être réalisés quotidiennement si besoin.

Auto-massages des muscles cervicaux postérieurs. Vous pouvez utiliser une huile de massage neutre si vous le souhaitez.
A l’aide de vos mains, venez réaliser une pression glissée depuis la base du crâne jusqu’à l’arrière de l’épaule.
Si vous trouvez un point douloureux, vous pouvez vous y attarder en gardant l’appui et respirer calmement pendant 20 à 30 secondes.

Etirements cervicaux. Placez une main sur l’épaule opposée et relâchez les épaules. Penchez ensuite la tête en l’éloignant de votre main. Vous devriez sentir un étirement sur le côté de votre cou.
Si vous souhaitez étirer les muscles de la nuque, maintenez cette position et tournez la tête pour regarder vers le sol.
Si vous souhaitez étirer les muscles antérieurs du cou, tournez la tête pour regarder vers le plafond.

Vous manquez d’inspiration ou vous souhaitez trouver d’autres exercices ? Pourquoi ne pas demander à nos différents praticiens ? Ils se feront un plaisir de répondre à vos questions.